Les avancées technologiques et la digitalisation des services s’accompagnent de la multiplication des menaces cybernétiques. Les internautes sont exposés chaque jour à diverses attaques de cybercriminalité à mesure qu’ils s’inscrivent et se connectent sur des plateformes en ligne. Alors, comment savoir si une page web est potentiellement dangereuse ?
La présence des bugs
Certains sites bien connus ont acquis la confiance des utilisateurs. La navigation est fluide et l’expérience utilisateur démontre l’implication des webmasters. C’est par exemple le cas FastSlots où l’on trouve des jeux en ligne d’une excellente qualité et qui sont accessibles depuis un PC et un mobile. L’art d’offrir une expérience de jeux idéale n’est pas donné à tout le monde et elle est souvent gage de confiance.
Si vous cliquez sur une page et qu’elle rame et refuse de s’afficher , vous êtes probablement sur une page web potentiellement dangereuse. Les bugs répétés sont des preuves que les mises à jour n’ont pas été réalisées depuis des lustres. Ils ne vous feront pas seulement vivre une mauvaise expérience d’utilisateur, mais ils peuvent fragiliser votre sécurité. Les mises à niveau opérées régulièrement sur les sites web sont indispensables pour assurer la maintenance et la sécurité globale d’une plateforme en ligne.
Dès lors, en vous attardant sur des pages buguées, vous courrez le risque de voir vos données vous être dérobées par des cybercriminels qui utilisent les failles des plateformes obsolètes pour injecter des logiciels malveillants.
Les designs amateurs
Vous devez particulièrement vous méfier des sites qui affichent des designs amateurs ou obsolètes. Si vous tombez sur une page web avec des graphismes amateurs, comprenez que celle-ci est gérée par des opérateurs véreux. Car les cybercriminels ne recrutent pas des professionnels pour monter leurs sites. Pour savoir si un design est amateur, vous devez être attentifs aux détails comme le logo qui sera flou, ou encore la mise en page des courriels de la société qui peut laisser à désirer.
L’emploi du protocole http
De nos jours, c’est le protocole https qui est de mise, tandis que le http est désormais désuet. Ainsi, si par inadvertance vous vous connectez sur un site web qui utilise encore le protocole http, vous devez tout de suite comprendre que vous êtes sur une page web potentiellement dangereuse. Le plus souvent, c’est lorsque vous forcez un site à s’afficher ou lorsque vous utilisez un navigateur suranné qu’une page web utilisant le protocole http paraît.
Le risque que vous prenez en restant sur ce type de plateforme est d’exposer toutes vos données et activités en ligne à tout le monde, car c’est un système dépassé qui ne chiffre plus les communications. Pour éviter que ceci ne vous arrive, évitez tout simplement de cliquer sur des liens qui commencent par http. En outre, prenez en considération les avertissements de sécurité que votre navigateur vous envoie.
Des popups et des pubs visibles sur la page d’accueil
Il vous est déjà arrivé de vous connecter sur un site web et de découvrir des pop-up et des publicités sur sa page d’accueil ? Eh bien, sachez que c’est un mauvais signal. Si vous tombez à nouveau sur ce type de plateforme, ne vous y attardez pas, car c’est une pratique douteuse qui vous expose à de graves menaces cybernétiques.
Le retour d’un mot de passe par adresse électronique
En principe, les sites web n’enregistrent qu’une estampille des mots de passe des utilisateurs. Cette mesure vise à les empêcher eux-mêmes de connaître votre mot de passe pour ne pas ouvrir une porte par laquelle les pirates accéderont aux identifiants des utilisateurs. De ce fait, quand vous appuyez sur la touche de mot de passe oublié, un site fiable doit vous faire ouvrir une fenêtre pour créer un nouveau mot de passe. Mais si à contrario il vous retourne votre mot de passe, c’est que c’est un site frauduleux que vous devez fuir. Sélectionnez immédiatement une autre plateforme et changez de mot de passe pour votre sécurité.
L’agencement de l’URL du site
L’URL est un des éléments principaux que les hackers utilisent pour faire de l’hameçonnage. En effet, la composition de l’URL peut être trafiquée de différentes manières. Le nom de domaine peut être modifié de façon subtile pour tromper la vigilance des utilisateurs. Dans le lien https:/breizh-info.com/, le nom du domaine peut être modifié en breizh.info.com, ce qui n’est plus la même chose. De même, un nom de sous-domaine peut être inséré pour dévier les utilisateurs sur une page web potentiellement dangereuse. Dans ce cas, il n’appartient pas au site sur lequel vous voulez vous connecter, mais plutôt aux cybercriminels. Soyez donc attentifs à de tels détails.
