Le Barça. Club mythique où les stars se sont enchaînées à un rythme devenu presque routinier. Cruyff pour la légende, Messi pour les contemporains, mais des dizaines de stars, de travailleurs de l’ombre, de besogneux, des hommes comme Ronaldinho, Busquets, Puyol.
Les histoires comme celle-ci se forment à coup de buts fantastiques, et de remontées folles comme face à Paris. Rappel des faits d’armes des Blaugranas, et plus particulièrement en Ligue des Champions.
Barça-PSG, pour l’Histoire
Avec une défaite 4-0 au match aller, Barcelone s’est compliqué la tâche. Grandement. Mais au Camp Nou, rien n’est impossible. Un message martelé par les Blaugranas jusqu’au coup d’envoi, par le coach Luis Enrique comme les joueurs. Bilan des courses, une remontée unique et un mot rentré dans le langage commun : la remontada.
Car le score fait peur. 6 buts à 1. Des commentaires endiablés, un scénario invraisemblable, avec un léger coup de pouce du corps arbitral. Barcelone est en fusion, Paris s’écroule, ce qui n’était qu’un huitième de finale relevé est devenu un match de légende, preuve que rien n’est acquis quand il s’agît de football. Les chiffres peuvent parler tant qu’ils veulent, le doute subsiste. Et l’analyse Bwin de ce type de performance rend l’exploit encore plus beau, plus intense.
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Les Espagnols semblent les plus à même de renverser ce type de situation, avec un chiffre clé de l’analyse Bwin.fr, ils perdent souvent par la plus petite des marges.
Barcelone en a connu des situations de ce genre, où la qualification semblait impossible. Et pourtant, dès 1978 le club se mettait en danger dans le cadre de la coupe des coupes face à Anderlecht en s’inclinant 3-0. Au final, les bleus et rouges l’emportent sur le score de 3-0 puis 4 à 1 aux tirs aux buts, pour atteindre le tour suivant.
En 1986 aussi, l’exploit était de taille. Même scénario, 3-0 puis 0-3 et une qualification aux tirs aux buts. Des missions remontada, le Barça en a connu d’autres, encore plus glorieuses. Comme ce soir de Ligue des Champions 1993-1994 où les hommes de Cruyff, passé du statut de joueur emblématique à celui d’entraineur, vont s’imposer 4-1, avec un doublé du capitaine José María Bakero. L’analyse fournie par Bwin va dans ce sens, et fournit des statistiques qui ne font que mettre en valeur les remontées du Barça : « 36,8% des clubs qui avaient perdu leur premier match avec seulement un but d’écart se sont finalement qualifiés pour le tour suivant, contre 16,0% de clubs avec deux buts de retard et 7,1% avec trois buts de retard. »
L’ère plus moderne, avec un football plus professionnel, avait déjà connu une première bribe de remontée dès 2012-2013 face à l’AC Milan. Menés 0-2 après le match aller, les blaugranas de Léo Messi ont fait parler ce tiki taka qui leur est si cher. Un premier but dès la 5e minute, puis un doublé pour l’Argentin, la machine est lancée et le Barça l’emporte 4-0. Paris fait office d’exemple, avec une remontée énorme, mais le club catalan n’en était pas à son coup d’essai pour autant.
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